Zoom sur les régions : où vont vos investissements en Girardin ?

Quand on évoque le Girardin industriel, la plupart des investisseurs pensent immédiatement à la réduction d’impôt (entre 16,28 et 23,46% avec Industrial Invest). Cependant, peu imaginent réellement où sont dirigés les fonds et comment ils dynamisent l’économie des DOM-TOM. Grâce à ce dispositif, un soutien essentiel est apporté à la modernisation des entreprises locales, tout en participant activement au développement social et économique de ces territoires.

En Martinique, les secteurs du BTP et de l’agroalimentaire sont directement dynamisés.

Le BTP représente environ 30 % des dossiers Girardin

Les entreprises modernisent leurs engins de chantier : pelleteuses, camions, grues ou bétonnières. Ces investissements contribuent à réaliser plus de chantiers dans de meilleures conditions de sécurité et de productivité.

Dans l’agroalimentaire, les producteurs de rhum, de jus ou de confitures investissent dans des lignes d’embouteillage, des systèmes de conditionnement ou de nouvelles installations frigorifiques. Cette modernisation renforce la compétitivité des produits martiniquais sur les marchés locaux et internationaux.

À la Réunion, l’énergie est au cœur des priorités. Une grande partie des investissements Girardin sert à financer des centrales photovoltaïques, des générateurs hybrides ou encore des batteries de stockage.

Plus de 15 % des projets concernent également l’industrie locale : transformation agroalimentaire, imprimerie, conditionnement ou maintenance industrielle. L’automatisation et la robotisation y sont encouragées afin d’optimiser les capacités de production.

Cette modernisation favorise une meilleure résilience économique tout en renforçant l’autonomie énergétique de l’île, essentielle face aux enjeux climatiques actuels.

L’impact du Girardin en Guyane

En Guyane, les fonds Girardin financent principalement l’exploitation forestière et l’agro-industrie.

Les entreprises forestières utilisent ces investissements pour acheter des abatteuses modernes, des tracteurs forestiers ou des camions adaptés aux conditions locales. Ces nouveaux équipements augmentent la productivité tout en réduisant les impacts environnementaux.

Dans l’agro-industrie, des stations de transformation du manioc ou du riz sont modernisées. Des outils de transformation performants permettent de créer de nouveaux produits finis et d’accéder à des marchés plus larges, favorisant ainsi la diversification de l’économie guyanaise.

À Mayotte, la pêche reste un secteur économique stratégique

Les pêcheurs financent des bateaux sécurisés, des systèmes de conservation modernes et des filets plus efficaces.

En parallèle, l’artisanat local se développe grâce à l’acquisition de machines, de véhicules utilitaires ou de fours professionnels. Ces investissements, qui représentent près de 20 % des dossiers, améliorent la qualité des productions et stimulent la création d’emplois.

Grâce au Girardin industriel, chaque euro investi a un impact direct, avec 25% du financement assuré par les investisseurs :

✅ Création d’emplois locaux
✅ Montée en gamme des entreprises
✅ Renforcement des filières stratégiques (énergie, alimentation, construction)
✅ Accès aux marchés nationaux et internationaux

Ces financements permettent aussi de soutenir la souveraineté alimentaire, de développer les filières d’export et de renforcer l’économie circulaire. En bref, ils aident les DOM-TOM à se moderniser et à s’émanciper économiquement, tout en réduisant les inégalités territoriales.

Au-delà d’un simple outil fiscal, le Girardin industriel devient un véritable levier pour l’économie ultramarine. Vos investissements ne se limitent pas à une simple ligne dans une déclaration d’impôts : ils soutiennent des projets réels et concrets, créateurs d’emplois et de valeur ajoutée locale, à hauteur de 25% des investissements réalisés.

👉 Choisir le Girardin industriel, c’est donner un sens utile à votre défiscalisation !